« La démarche étape par étape d’un chantier participatif rondement mené ! »
La phytoépuration fait appel aux bactéries présentes dans les systèmes racinaires des plantes pour épurer l’eau.
Nos eaux usées polluent trop souvent la nature sans que l’on s’en rende compte. Un grave problème dans les zones rurales en l’absence de tout-à-l’égout. La phytoépuration utilise le pouvoir dépolluant de certaines plantes.
Les regards intérieurs sont des tubes de polyéthylène (ou PVC) de 200mm percés d’une centaine de trous.
Les bacs sont remplis de pouzzolane et de galets.
Nous avons intercalé une tôle pour délimiter les sections pendant le remplissage.
Collage des tuyaux.
Mise en place des tuyaux de raccordement.
Les bacs sont remplis de pouzzolane et de galets.
La densité de plantation est de 7 plantes au m2 environ.
Dans les deux premiers bacs, nous avons mis exclusivement des roseaux (phragmites communis) à raison de 6 plants par bac.
Le filtre à paille sert à retenir les particules et la graisse.
Le regard est placé au plus près de la maison.
La phytoépuration l’année suivant son installation…
Nous avons calé les cinq bacs à l’horizontale sur des lits de sable. Chacun fait 1 m2 de surface et 55 cm de profondeur.
Article publié par « Canopée » le 01/01/2022